par J'étais enceinte. J'aimais Vorkul. Ma vie allait s'améliorer. Puis tout bascula.
Si mon fiancé était parti en guerre contre les nethériens confiant, c'est gravement blessé qu'il revint. On m'a dit qu'il avait été attaqué en cours de route. C'est donc avec mes plus grands soins que je veillai sur lui. Lorsque les troupes revinrent, dirigées par Gloom, le nouveau capitaine, c'était avec grande joie. Une victoire grandiose contre Brigal. J'étais soulagée. Vorkul, de son côté, était loin d'être rétabli, et je me promis de toujours rester à ses côtés pour les jours qui suivirent.
Par malheur, une journée je décidai de faire un tour dehors. Visiter la ville, celle dans laquelle j'allais bientôt vivre avec celui que j'aime et mon enfant. Mon ventre rond me ralentissais, mais c'était un poids que je portais fièrement. C'est en me dirigeant vers l'entrée que je me retrouvai face à face à deux amies, Maelias, l'ambassadrice de LADO, et Ellana. Je les invitai à discuter un peu devant le foyer, et boire un coup. Étant un peu perdue, je demandai à Gloom de nous apporter des verres. Mais c'est avec mauvaise surprise qu'il revint, versant un seau d'eau sur la tête d'Ellana.
Outrée, je me levai et lui demandai pourquoi il avait fait ça. Comme toute réponse il me donna un coup de pied sur le ventre. Puis ce fut le chaos. Hunter arriva et entreprit de se battre contre le capitaine. Après avoir vérifié que mon bébé se portait bien, je m'interposai. C'était encore une fois pour recevoir un coup de hache de Gloom à la tête, qui m'assomma. À l'aide d'un verre d'eau que m'a donné Ellana et le support de Maelias, je puis me relever. Je sortis ma hache, cadeau de mon amour, et me jetai maladroitement sur le nain, qui m'évita sans mal et me donna un coup final, mortel, droit au cœur.
Je m'écroulai, baignant dans mon sang. Je me suis mise à pleurer en souriant. C'était ça ma destinée? Mourir comme une merde, sans pouvoir dire adieu à mes êtres aimés, ni bonjour à mon enfant qui risquait fort de ne jamais naître. Je regardai Maelias dans les yeux, et je poussai un dernier soupir:
"Sauvez-le."
Puis je suis morte.
Si mon fiancé était parti en guerre contre les nethériens confiant, c'est gravement blessé qu'il revint. On m'a dit qu'il avait été attaqué en cours de route. C'est donc avec mes plus grands soins que je veillai sur lui. Lorsque les troupes revinrent, dirigées par Gloom, le nouveau capitaine, c'était avec grande joie. Une victoire grandiose contre Brigal. J'étais soulagée. Vorkul, de son côté, était loin d'être rétabli, et je me promis de toujours rester à ses côtés pour les jours qui suivirent.
Par malheur, une journée je décidai de faire un tour dehors. Visiter la ville, celle dans laquelle j'allais bientôt vivre avec celui que j'aime et mon enfant. Mon ventre rond me ralentissais, mais c'était un poids que je portais fièrement. C'est en me dirigeant vers l'entrée que je me retrouvai face à face à deux amies, Maelias, l'ambassadrice de LADO, et Ellana. Je les invitai à discuter un peu devant le foyer, et boire un coup. Étant un peu perdue, je demandai à Gloom de nous apporter des verres. Mais c'est avec mauvaise surprise qu'il revint, versant un seau d'eau sur la tête d'Ellana.
Outrée, je me levai et lui demandai pourquoi il avait fait ça. Comme toute réponse il me donna un coup de pied sur le ventre. Puis ce fut le chaos. Hunter arriva et entreprit de se battre contre le capitaine. Après avoir vérifié que mon bébé se portait bien, je m'interposai. C'était encore une fois pour recevoir un coup de hache de Gloom à la tête, qui m'assomma. À l'aide d'un verre d'eau que m'a donné Ellana et le support de Maelias, je puis me relever. Je sortis ma hache, cadeau de mon amour, et me jetai maladroitement sur le nain, qui m'évita sans mal et me donna un coup final, mortel, droit au cœur.
Je m'écroulai, baignant dans mon sang. Je me suis mise à pleurer en souriant. C'était ça ma destinée? Mourir comme une merde, sans pouvoir dire adieu à mes êtres aimés, ni bonjour à mon enfant qui risquait fort de ne jamais naître. Je regardai Maelias dans les yeux, et je poussai un dernier soupir:
"Sauvez-le."
Puis je suis morte.
je t'aime pu thibault 
