Hello '-'
Je m'appelle Madlyne (oui, c'est bizarre), j'ai 14 ans et j'habite dans la ville de Lille. Je suis au collège et dans deux ans je passe enfin au lycée. Hier, j'ai mangé des beignets aux calamars et aux poulpes.
J'adore l'écriture, la lecture, j'ai beaucoup d'imagination (même un peu trop.. >.>) et c'est pour ça que mon rêve est de devenir scénariste.
J'ai commencé Minecraft cracké il y a un an avec ma meilleur amie (Claire, Claire Choko) et ma cousine (Camille, Ayuki Choko) avec lesquelles j'ai créé le groupe Michoko. Je ne peux pas acheter le jeu comme mes parents sont radins.. (._.).
J'aime beaucoup Minecraft mais je préfère le côté RP, j'ai connu Hélion grâce à des amis déjà inscrits. '-'
Etant donné que je suis sous compte cracké, j'utilise un skin d'une autre personne pour ne pas être mexicain, j'aurai voulu savoir s'il était possible de renommer mon personnage en "Alix".
Bref finis de parler de moi, voici mon précieuuux texte:
"- Et bien.. Mon histoire est triste, malheureuse et je n'ai pas connu beaucoup de bonheur, la conter me fera souffrir mais, j'ai besoin de soulager ce poids de mes épaules.
Je suis Alix, l'aînée d'une famille nombreuse, très nombreuse, nous étions pauvres et mes parents se démenaient pour pouvoir payer notre pain. Même dans mes souvenirs les plus lointains, mon père travaillait tout le temps et quand il revenait le soir, épuisé et sale, je m'approchais de lui et j'écoutais sa journée en lui tenant tendrement la main. Ma mère était très jeune, quand je suis née elle n'avait qu'une quinzaine d'années. Elle est toujours restée près de moi, j'étais heureuse, même dans la poussière, même dans la pauvreté, même dans ma petite famille.. J'étais heureuse..
Mais tout à changer le matin où un garde est venu frapper à notre porte en bois, je me souviens même la violence dont il avait faillit la faire tomber. Il avait crié sur Maman comme si elle venait de commettre un crime, sa main l'avait saisie par le bras et il avait trainé ma mère jusqu'à la place commune, au centre de notre petit village.
Là, au milieu d'une foule choquée, il y avait mon père, mon Papa, allongé sur une planche en bois avec une lame suspendue à 2 mètres au dessus de sa tête.. Ne pouvant voir son visage, je me suis approché en me faufilant entre les jambes des habitants et à ce moment précis.. La lame tomba, elle fila tel un éclair et mit fin à ma petite vie tranquille. La tête de mon père rebondit dans le seau, c'était le seul bruit sur la place, les gens s'étaient tus. Soudain, un hurlement de douleur déchira le silence, ma mère venait de s'effondrer sur les pierres qui recouvraient le sol. Je crus entendre son cœur volait en éclats, l'amour de sa vie venait d'être tué devant ses yeux, je ne la comprenais pas à l'époque, j'étais juste choquée.. Je n'ai jamais su la raison de sa mort, aujourd'hui encore, je continue de nager dans l'ignorance.
Les mois passaient lentement, ma mère était triste mais heureusement un évènement joyeux se produit: elle accoucha de deux filles, deux fausses jumelles. En entendant leurs premiers pleurs, mon cœur se remplit d'une joie immense et un sentiment naquît en moi, l'envie de les protéger quoi qu'il arrive.
Les années qui suivirent furent tristes, je vivais encore dans le regret de mon père mais celui-ci finit par passer, ma mère avait trouvé un moyen rentable de nous garder en vie moi et mes deux sœurs: la prostitution.
Elle n'avait bien sûr aucun moyen de ne pas tomber enceinte, c'est pour cela que chaque année, notre famille s'agrandissait d'une personne dont je devais m'occuper. Elle était bien payée et certains soirs, on lui offrait même un repas dans la tanière du coin. Nous étions capable de vivre dans des conditions "confortables", puis les années passaient, les enfants s'accumulaient et l'argent nécessaire venait à manquer. Je devais jeûner plusieurs fois par semaine pour laisser le pain aux plus jeunes, dormir par terre également, en tenant le nouveau né contre ma poitrine pour lui tenir chaud. Oui, c'était mon quotidien, à 16 ans.
La pire erreur que j'ai faite jusqu'à présent, c'est d'avoir volé. Un de mes nombreux petits frères m'avait aggripé la manche et avec ses petits yeux humides, il avait supplié quelque chose à manger. Ca me faisait tellement de peine.. Il était si petit, si jeune et il connaissait déjà la faim, celle qui nous empêche de dormir la nuit, celle qui nous broie de l'intérieur si on ne la satisfait pas, celle qui nous tue à petit feu.. Ca me faisait trop mal, mais que faire quand les placards sont vides et qu'on est la seule personne à pouvoir aider sa famille quand la mère est déjà occupée ? Je me souviens qu'à cet instant précis, l'idée de voler naquît, au début je ne voulais pas c'était mal et si on m'y prennait, c'était la fin. La fin de notre famille. Mais si je ne le faisait pas, c'était également la fin, quand trois enfants moururent dans la même semaine, j'avais pris la décision de risquer ma vie pour sauver celles des autres.
Tout ce passait bien, je volais deux-trois pommes à celui-ci, un petit morceau de viande à celui-là, et peut être un poisson à cet autre marchand ? Au fil du temps, mes mains attrapaient plus vite, je m'étais habitué à dérober des personnes loyales qui méritaient pourtant leur pain. Depuis plusiseurs sorties, une table de marché, spécialement garnie de fruits luisants à la lueur des torches, attirait mon attention. Les marchands qui la tenaient travailler pour un seigneur au nom imprononcable, je n'avais encore jamais tenté de les voler. Cette table devient alors comme un défi, si j'arrivais à dérober deux jolies pommes, elles seraient pour Ana et Aline les deux autres filles de mon père. Je portais une vielle cape noire et usé munie d'une capuche, cela permettait de cacher la nourriture facilement. Elle me procurait aussi une sécurité, s'il me prennnait à voler je fuyais et la large capuche cachait mon visage mais en réalité elle me rassurait plus qu'autre chose alors, j'ai tenté. Comme je l'ai dis plus tôt, mon erreur la plus terrible a été de voler.. Cette table.
J-Je..Je me suis fait prendre, un marchand m'a vu puis il a essayé d'attrapper mon bras, heureusement pour moi, j'ai été trop rapide. Mes jambes ont courrus aussi vite qu'elles ont pu, arrivée devant ma maison, un ricanement sortit de ma gorge. J'avais réussi. J'ouvris la porte, sur le parquet abimé se trouvaient les enfants tous serrés les uns contre les autres, leur petit visage calme me faisait chaud au coeur. Une fillette se réveille au bruit de mes pas, c'était Ana, j'allais me pencher quand un cri de rage se fit entendre de l'autre côté des murs. Les gardes du seigneur se tenaient devant notre porte et criaient la mort du voleur, l'un d'eux enfonça le bois, réveillant mes frères et soeurs. Ma mère venait de descendre en vitesse, la terreur lui mangeait le visage, je savais ce qu'elle pensait, elle se revoyait le jour de la mort de mon père. Les gardes étaient venus et.. Bref.
J'en déduis qu'ils m'avaient suivis, peut être que je venais de condamner ma famille entière ? La peur me broyait les entrailles mais heureusement, j'avais rétiré ma cape un peu plus tôt. Un garde à la moustache grise s'avanca un couteau à la main, il nous défiait tous du regard.
Je m'en souviens, je m'en souviens tellement bien.. Ca me déchire le coeur d'en parler, ça me rappelle de la tristesse mais ça réamine également la flamme de haine qui brûle en moi.. Un frisson me parcourait, je devais me rendre, je le devais. Un coup d'oeil rapide vers ma mère lui fit comprendre que c'était moi, je lui fis mon dernier sourire, mon dernier oui, le dernier qu'elle a vu.. Je m'apprêtais à m'avancer quand ma mère me devança, je lisais dans ses yeux de la colère, de la peine et de la decéption. Elle m'en voulait et pourtant elle me faisait échapper à la prison, enfin, ça c'est ce que je pensais, vous imaginez bien la haine que j'ai ressenti quand.. Quand.. On l'a égorgé devant moi.. J'ai l'impression de ressentir une fois de plus la douleur de mes genoux qui s'écrasent sur le sol dur, la sensation de ne plus pouvoir respirer comme si mes poumons étaient remplis de son sang que J'AI fais coulé, c'est de MA faute, c'est MOI qui ai fait glisser la lame sur sa peau.. C'est moi.. C'est moi.. C'EST MOI.. Non. Non, ce n'est pas moi, c'est les seigneurs, TOUT les seigneurs, ils ont TOUS tué ma mère et, je les turai TOUS."
Alix se tenait depuis quelques dizaines de minutes sous la pluie tandis ses mèches de cheveux brunes se collaient sur son visage, elle parlait à son relfet dans une flaque d'eau. Elle soupira en se relevant lentement.
"- Je ne suis pas crédible, je délire beaucoup trop, surtout sur la fin.."
Cela faisait deux semaines qu'elle marchait pour retrouver ses soeurs, après avoir ammadoué un garde grâce à son charme, il lui avait appris que les deux jumelles avaient été placés dans des couvants séparés.
"- Pff.. Cette marche me fait tellement mal aux pieds, j'espère être bientôt arrivé, ne n'en peux plus de cette solitude..La preuve, je parle toute seule."
Alix avait en tête de retrouver ses soeurs, de s'assurer qu'elles étaient en bonne santé pour reprendre la route et accomplir sa vengance: éliminer le plus de seigneurs possibles. Oui, elle allait périr, elle en avait consciense mais elle voulait au moins venger sa mère. Une mort pour une mort. Elle devait en égorger un, juste un seul.. Sa triste histoire l'a ferait bien pénètrer dans la demeure de l'uns d'entre eux, son agilité et sa rapidité acquis au long de l'année où elle volait l'aiderai beaucoup.
Je m'appelle Madlyne (oui, c'est bizarre), j'ai 14 ans et j'habite dans la ville de Lille. Je suis au collège et dans deux ans je passe enfin au lycée. Hier, j'ai mangé des beignets aux calamars et aux poulpes.
J'adore l'écriture, la lecture, j'ai beaucoup d'imagination (même un peu trop.. >.>) et c'est pour ça que mon rêve est de devenir scénariste.
J'ai commencé Minecraft cracké il y a un an avec ma meilleur amie (Claire, Claire Choko) et ma cousine (Camille, Ayuki Choko) avec lesquelles j'ai créé le groupe Michoko. Je ne peux pas acheter le jeu comme mes parents sont radins.. (._.).
J'aime beaucoup Minecraft mais je préfère le côté RP, j'ai connu Hélion grâce à des amis déjà inscrits. '-'
Etant donné que je suis sous compte cracké, j'utilise un skin d'une autre personne pour ne pas être mexicain, j'aurai voulu savoir s'il était possible de renommer mon personnage en "Alix".
Bref finis de parler de moi, voici mon précieuuux texte:
"- Et bien.. Mon histoire est triste, malheureuse et je n'ai pas connu beaucoup de bonheur, la conter me fera souffrir mais, j'ai besoin de soulager ce poids de mes épaules.
Je suis Alix, l'aînée d'une famille nombreuse, très nombreuse, nous étions pauvres et mes parents se démenaient pour pouvoir payer notre pain. Même dans mes souvenirs les plus lointains, mon père travaillait tout le temps et quand il revenait le soir, épuisé et sale, je m'approchais de lui et j'écoutais sa journée en lui tenant tendrement la main. Ma mère était très jeune, quand je suis née elle n'avait qu'une quinzaine d'années. Elle est toujours restée près de moi, j'étais heureuse, même dans la poussière, même dans la pauvreté, même dans ma petite famille.. J'étais heureuse..
Mais tout à changer le matin où un garde est venu frapper à notre porte en bois, je me souviens même la violence dont il avait faillit la faire tomber. Il avait crié sur Maman comme si elle venait de commettre un crime, sa main l'avait saisie par le bras et il avait trainé ma mère jusqu'à la place commune, au centre de notre petit village.
Là, au milieu d'une foule choquée, il y avait mon père, mon Papa, allongé sur une planche en bois avec une lame suspendue à 2 mètres au dessus de sa tête.. Ne pouvant voir son visage, je me suis approché en me faufilant entre les jambes des habitants et à ce moment précis.. La lame tomba, elle fila tel un éclair et mit fin à ma petite vie tranquille. La tête de mon père rebondit dans le seau, c'était le seul bruit sur la place, les gens s'étaient tus. Soudain, un hurlement de douleur déchira le silence, ma mère venait de s'effondrer sur les pierres qui recouvraient le sol. Je crus entendre son cœur volait en éclats, l'amour de sa vie venait d'être tué devant ses yeux, je ne la comprenais pas à l'époque, j'étais juste choquée.. Je n'ai jamais su la raison de sa mort, aujourd'hui encore, je continue de nager dans l'ignorance.
Les mois passaient lentement, ma mère était triste mais heureusement un évènement joyeux se produit: elle accoucha de deux filles, deux fausses jumelles. En entendant leurs premiers pleurs, mon cœur se remplit d'une joie immense et un sentiment naquît en moi, l'envie de les protéger quoi qu'il arrive.
Les années qui suivirent furent tristes, je vivais encore dans le regret de mon père mais celui-ci finit par passer, ma mère avait trouvé un moyen rentable de nous garder en vie moi et mes deux sœurs: la prostitution.
Elle n'avait bien sûr aucun moyen de ne pas tomber enceinte, c'est pour cela que chaque année, notre famille s'agrandissait d'une personne dont je devais m'occuper. Elle était bien payée et certains soirs, on lui offrait même un repas dans la tanière du coin. Nous étions capable de vivre dans des conditions "confortables", puis les années passaient, les enfants s'accumulaient et l'argent nécessaire venait à manquer. Je devais jeûner plusieurs fois par semaine pour laisser le pain aux plus jeunes, dormir par terre également, en tenant le nouveau né contre ma poitrine pour lui tenir chaud. Oui, c'était mon quotidien, à 16 ans.
La pire erreur que j'ai faite jusqu'à présent, c'est d'avoir volé. Un de mes nombreux petits frères m'avait aggripé la manche et avec ses petits yeux humides, il avait supplié quelque chose à manger. Ca me faisait tellement de peine.. Il était si petit, si jeune et il connaissait déjà la faim, celle qui nous empêche de dormir la nuit, celle qui nous broie de l'intérieur si on ne la satisfait pas, celle qui nous tue à petit feu.. Ca me faisait trop mal, mais que faire quand les placards sont vides et qu'on est la seule personne à pouvoir aider sa famille quand la mère est déjà occupée ? Je me souviens qu'à cet instant précis, l'idée de voler naquît, au début je ne voulais pas c'était mal et si on m'y prennait, c'était la fin. La fin de notre famille. Mais si je ne le faisait pas, c'était également la fin, quand trois enfants moururent dans la même semaine, j'avais pris la décision de risquer ma vie pour sauver celles des autres.
Tout ce passait bien, je volais deux-trois pommes à celui-ci, un petit morceau de viande à celui-là, et peut être un poisson à cet autre marchand ? Au fil du temps, mes mains attrapaient plus vite, je m'étais habitué à dérober des personnes loyales qui méritaient pourtant leur pain. Depuis plusiseurs sorties, une table de marché, spécialement garnie de fruits luisants à la lueur des torches, attirait mon attention. Les marchands qui la tenaient travailler pour un seigneur au nom imprononcable, je n'avais encore jamais tenté de les voler. Cette table devient alors comme un défi, si j'arrivais à dérober deux jolies pommes, elles seraient pour Ana et Aline les deux autres filles de mon père. Je portais une vielle cape noire et usé munie d'une capuche, cela permettait de cacher la nourriture facilement. Elle me procurait aussi une sécurité, s'il me prennnait à voler je fuyais et la large capuche cachait mon visage mais en réalité elle me rassurait plus qu'autre chose alors, j'ai tenté. Comme je l'ai dis plus tôt, mon erreur la plus terrible a été de voler.. Cette table.
J-Je..Je me suis fait prendre, un marchand m'a vu puis il a essayé d'attrapper mon bras, heureusement pour moi, j'ai été trop rapide. Mes jambes ont courrus aussi vite qu'elles ont pu, arrivée devant ma maison, un ricanement sortit de ma gorge. J'avais réussi. J'ouvris la porte, sur le parquet abimé se trouvaient les enfants tous serrés les uns contre les autres, leur petit visage calme me faisait chaud au coeur. Une fillette se réveille au bruit de mes pas, c'était Ana, j'allais me pencher quand un cri de rage se fit entendre de l'autre côté des murs. Les gardes du seigneur se tenaient devant notre porte et criaient la mort du voleur, l'un d'eux enfonça le bois, réveillant mes frères et soeurs. Ma mère venait de descendre en vitesse, la terreur lui mangeait le visage, je savais ce qu'elle pensait, elle se revoyait le jour de la mort de mon père. Les gardes étaient venus et.. Bref.
J'en déduis qu'ils m'avaient suivis, peut être que je venais de condamner ma famille entière ? La peur me broyait les entrailles mais heureusement, j'avais rétiré ma cape un peu plus tôt. Un garde à la moustache grise s'avanca un couteau à la main, il nous défiait tous du regard.
Je m'en souviens, je m'en souviens tellement bien.. Ca me déchire le coeur d'en parler, ça me rappelle de la tristesse mais ça réamine également la flamme de haine qui brûle en moi.. Un frisson me parcourait, je devais me rendre, je le devais. Un coup d'oeil rapide vers ma mère lui fit comprendre que c'était moi, je lui fis mon dernier sourire, mon dernier oui, le dernier qu'elle a vu.. Je m'apprêtais à m'avancer quand ma mère me devança, je lisais dans ses yeux de la colère, de la peine et de la decéption. Elle m'en voulait et pourtant elle me faisait échapper à la prison, enfin, ça c'est ce que je pensais, vous imaginez bien la haine que j'ai ressenti quand.. Quand.. On l'a égorgé devant moi.. J'ai l'impression de ressentir une fois de plus la douleur de mes genoux qui s'écrasent sur le sol dur, la sensation de ne plus pouvoir respirer comme si mes poumons étaient remplis de son sang que J'AI fais coulé, c'est de MA faute, c'est MOI qui ai fait glisser la lame sur sa peau.. C'est moi.. C'est moi.. C'EST MOI.. Non. Non, ce n'est pas moi, c'est les seigneurs, TOUT les seigneurs, ils ont TOUS tué ma mère et, je les turai TOUS."
Alix se tenait depuis quelques dizaines de minutes sous la pluie tandis ses mèches de cheveux brunes se collaient sur son visage, elle parlait à son relfet dans une flaque d'eau. Elle soupira en se relevant lentement.
"- Je ne suis pas crédible, je délire beaucoup trop, surtout sur la fin.."
Cela faisait deux semaines qu'elle marchait pour retrouver ses soeurs, après avoir ammadoué un garde grâce à son charme, il lui avait appris que les deux jumelles avaient été placés dans des couvants séparés.
"- Pff.. Cette marche me fait tellement mal aux pieds, j'espère être bientôt arrivé, ne n'en peux plus de cette solitude..La preuve, je parle toute seule."
Alix avait en tête de retrouver ses soeurs, de s'assurer qu'elles étaient en bonne santé pour reprendre la route et accomplir sa vengance: éliminer le plus de seigneurs possibles. Oui, elle allait périr, elle en avait consciense mais elle voulait au moins venger sa mère. Une mort pour une mort. Elle devait en égorger un, juste un seul.. Sa triste histoire l'a ferait bien pénètrer dans la demeure de l'uns d'entre eux, son agilité et sa rapidité acquis au long de l'année où elle volait l'aiderai beaucoup.