Nostlagie profonde...
Un soir , je me tenais là, sur une falaise, j'observais les cieux. J'ai finis par perdre mes illusions d'Hélion… Mon retour ici m'a ouvert les yeux, ce monde est dévasté, les gens n'y vivent pas, ils y survivent… Certains trouve le bonheur , mais ce bonheur finit vite par disparaître.
Je pense surtout à Lily… Ce soir-là… Je chassais avec Wolfer, mon fidèle loup, on arriva par hasard à Orzamar, j'entendais quelque voix, Wolfer lui sentait la présence de plusieurs personnes. Ma curiosité nous à amener à nous approcher, j’aperçus Lily accompagner de Maelias et de sa sœur Ellana. Ellana est une elfe, une elfe présente dans une ville naine… J'ai de suite pensé que ceci allait mal terminé alors je m'approchais discrètement, avec pour seule lumière l'éclat lunaire. Dès que je fusse près d'eux, je les observais mais… Gloom, un sergent nain frappait violemment le ventre de Lily sauf que Lily était enceinte… Mon instinct protecteur s'est mis à hurler en moi, Wolfer désirant la même chose que moi, intervenir. Et puis cela a mal fini… Gloom finit par blesser mortellement Lily. En voyant Lily au sol, baignant dans son sang, sentant sa peur envers sont enfants, une haine fit surface, cette haine je la déchaînais sur Gloom qui fut très vite impuissant face à ma vitesse de frappe et ma mobilité extrême, Gloom lui ne possédait qu'une force barbare, il fût donc rapidement débordé par ma vitesse et finis le torse arraché par mon épée « Purifia Éon Glaçeo »… Après cela, nous restions prés de Lily qui ne demandait qu'une chose… Sauver son enfant au dépourvu de sa vie…
Tout ceci m’emmena ici, sur cette magnifique falaise… Laissant la brise de minuit me porter dans mes pensées. Ainsi, j'ai médité profondément pour me remémorer mon passé… Et puis la méditation à payé, j'étais comme plongé dans un rêve.
Je revivais inconsciemment mon passé.
La vie était paisible. Mes parents étaient adorable, toujours partants pour s'amuser. Mon père m'apprenait à chasser tandis que ma mère m'enseignait ses secrets de cuisines. Nous vivions heureux. Les années passèrent, nous vivions tous dans un bonheur éclatant. Un jour, mes parents m'apprirent que j'aurais un frère ou une sœur. Cette idée me terrifiait, je ne savais quoi pensé, j'avais toujours l'image du frère insupportable et de la sœur pleurnicharde. Je pensais que son arrivé allais tout perturbés, mais le jour de la naissance... C'était une fille, mes parents l'ont appelé Isiris. Ce bébé était intriguant, plutôt envoûtant. En m'approchant, le bébé à eu automatiquement un geste d'affection… En effet, il déposa tendrement sa main tu l'un de mes doigts puis rigolais. Quelques années plus tard, moi et Isiris formaient un duo inséparable, chaque dispute finissait en câlin affectueux et en mots doux… Isiris était très mignonne… Jamais malheureuse, toujours le sourire aux lèvres. Nous nous amusions chaque jour, nous nous promenions chaque jour, nous faisions tout ensemble, quand l'un avait un problème, l'autre arrivait pour l'aider. Une fois, après le jour de ses cinq ans, un groupe d'enfants se sont acharnés sur elle… Ils la poussèrent et la jetèrent à terre, je la voyais au loin, j'accourais pour la protéger, je la relevais mais les gamins nous jetèrent des pierres, alors je baissa la tête d'Isiris et la recroquevilla de sorte à ce qu'elle forme une boule auquel je servis de « couverture » protectrice. Les gamins on finit par lire dans mon regard que s'ils n'arrêtaient pas ils allaient avoir de gros problèmes. Terrifiés, ces enfants s'arrêtaient. Je relevai ma sœur, elle regardait ma tête, du sang coulait jusqu'à mes joues. Je souris et dis : « Tu n'as rien petite sœur ? » elle me répondit : « Ta… Ta tête… Tes bras… Ton dos… » Je fît tout en souriant : « Mmm . *Souris* t-en fait pas ! Du moment que tu n'as rien je n'ai rien ! » elle se jetait sur moi mettant ses bras derrière mon coup, les larmes aux yeux et fît : « Je… *snif* Je suis désolé ! »
Nous grandissions ensemble et chaque jours était inoubliable. Et puis arriva ce soir là. Alors que moi et Isiris était partis acheter des pâtisseries pour nos parents, des lueurs flamboyantes étaient présentes…
Tout le monde paniquaient,Pleuraient,Hurlaient,Fuyaient.
Je tournai la tête pour regarder ma sœur qui était stupéfaite et lui fît : « Isiris ! On ne doit pas rester ici ! Allons vite voir Papa et Maman d'accord ? » Elle hocha la tête puis on accourais vers la maison, en chemins on observait… Je ne sais plus… Mes souvenirs se troublent…
Je ne voie que silhouettes, qu'ombres faucheuse tranchant les gens un par un semant le désespoir et le chaos. Nous étions terrifiés et faibles, arrivés à la maison, nous voyons nos parents attacher avec ces personnes armé derrière eux. L'un d'eux fît : « Et bien regardez qui voilà ! »
Maman hurlait en larmes : « PARTEZ ! LES ENFANTS FUYEZ ! NE RESTEZ PAS LA ! »
Une silhouette s'approchait de ma mère, et lui fila un violent coup de pied au niveau de la tête et dit : « Elle va là fermée celle-là ! »
Maman : « Je vous en prie… Pas les enfants s'il vous plaît... »
Les silhouettes s'approchaient de nous pour nous tenir en face de nos parents qui étaient inondés de leurs larmes cristalline. D'autres, se sont approchés de nos parents pour tenir la tête, puis ils sortirent des épées et…
…
Les égorgeas, lentement pour que leur sang ne soit que perle de souffrance. Ils hurlaient la mort, ils hurlaient la douleur, ils hurlaient l'immonde souffrance…
Ces personnes, étant bien cruel, nous laissais voir cette atrocité avant de nous condamné. Face à ce traumatisant geste , Isiris avait détourné les yeux depuis longtemps et s'était boucher les oreilles tandis que moi, je regardais, Je regardais l'expression désespérante de mes parents et en subissais le térrible sentiment. Après cela, un silence de mort régnais pendant une dizaine de secondes. Puis ces barbares se sont mit à pouffer de rire. À piétiner les cadavres. À cracher sur les cadavres de nos parents adorés. Alors, mon choque se tourna vite en une haine sombre… Mais je n'avais que dix ans, je pouvais seulement me débattre. Les gardes ont décidés de nous épargnés ma sœur et moi, mais à qu'elle prix ? Et bien il se trouve qu'ils sélectionnent de jeune gens en parfaite santé pour des expériences scientifiques. Isiris et moi étions impuissant et se laissais emmener. On nous amenait dans un transport et puis le voyage prit commencement. Isiris resta blottit contre moi, elle était dominé par la peur. Je lui caressais tendrement la tête ainsi que sa nuque et son dos. Cela la calmais et la détendais. Le voyage était long et dur, on ne nous donnait seulement de quoi rester en vie pour les « test», cela avais duré environs une semaine. Arrivé devant ce bâtiment gigantesque, un frisson d'inquiétude s’emparait de moi. Je sentais que ce bâtiment allait être notre enfer, alors je me débattais de toute mes force, je mordais le garde pour rejoindre ma sœur qui était en face. Je lui hurlais « Fuis ! Fuis Isiris ne reste pas ici ! ». Isiris réagissais brusquement, donnant un coup de tête vers le garde la tenant, elle courrais, j'étais derrière elle, notre liberté nous tenais les bras, mais... Les gardes m'avais rapidement rattraper. C'est alors qu'il me tenait, il me traînait vers le bâtiment mais mes yeux restas fixés sur Isiris qui s’éloignait de plus en plus. Elle tourna la tête et me voyais avec horreur mon arrestation. « Isiris ! Caches toi ! Cours ! On se retrouveras plus tard d'accord ? T'en fais pas pour moi ! »
Isiris sanglotait et hoquetait, je souriais et lui disais : « T-en fais pas, tant que tu n'as rien je n'aurais rien ». Elle partis en courant, pleurant abondamment. Les gardes criais « ATTRAPEZ LA BON SANG !!! » mais c'était trop tard, elle était déjà cacher dans l'ombre.
Les gardes qui me tenait, m'emmenait dans une cellule.
Deux jours étaient passer et je n'avais pas cesser de penser à ma tendre sœur. Des gardes s'était enfin décidés à me faire subir des choses atroces. Ces « chercheurs » m'ont fait des choses horribles… Ils ont testé un nouveau type d'arme. Ils n'avait pas mentionné de nom à cette arme mais moi, je l’appelais « le fouet dentés », c'est un fouet qui possède des « dents » en acier extrêmement tranchantes. Ils m'avaient frappé avec pour tester les lames (le tranchant et la durabilité) pendant des heures. Quand je m'évanouissais de douleur ils arrêtaient, attendaient de m'en être remit, puis recommençaient. Après le fouet dentés, mon dos était déformer, remplis de plaie qui était moins profonde qu'elles n'en avaient l'air. Après une bonne semaine sans avoir subit quelque chose, c'était le tours du test qui ma le plus « marqués » dans tous les sens du terme. C'était des test chimiques… Ils testaient divers mélanges et divers substance directement sur moi ou plutôt EN moi. Le pire de tout ces test était le test que j'ai nommé « Oeil Perçant » Ils avaient une seringue remplie d'une substance, et me l'ont froidement injecté dans la rétine de mon œil droit. De bases, mes yeux étaient Oranges Crépuscule. Maintenant mon œil droit à un rouge sanglant… Leurs série de substance ont apportés des modifications à mon œil droit. En effets ils avaient réussi à changer les caractéristiques de mon œil. Par exemple quelque chose d'incroyable est de normalement impossible ce produisais, mes sentiments influe sur mon œil, étant calme mon œil est doux et charmant, étant sérieux mon œil est plus "agressifs", étant énerver la pupille noir de mon œil change de forme, elle n'est plus ronde mais passais dans un ton plus ovale, comme les yeux d'un chat ou d'un reptile. Autre chose d'exceptionnelle quand je me concentre, mon œil droit peut voir à plusieurs kilomètre mais ceci n'est pas encore tout à fait maîtriser . Quoi qu'il en sois je vous laisse imaginer ce que cela fait d'avoir une série de piqûres dans la rétine qui confiais une douleur insupportable… Mais bon, aujourd'hui je me dit que c'était un mauvais moment pour un meilleur car désormais je possèdes un œil unique, malgré le fait que certaine fois des douleurs intenses surviennent. Après le test « Oeil Perçant » j'avais décidé de m'enfuir, je n'en pouvais plus de subir tout cela.
Alors que l'ont m'emmenais vers la salle à manger, où tout le monde est emmenés pour se nourrir, je réfléchissais intensément, arrivés sur une table, je mangeais tranquillement sans me précipité malgré ma faim. Un homme se trouvant à coté de moi me disais « Mon dieux… Qu'est-ce qu'ils t’ont fais ? » Je le regardais, et disais calmement « Des test sur les yeux, ils avaient l'air de s'amuser à chercher un moyen de personnalisés des yeux... »
L'homme : « Oh… Cela devait-être horrible... »
Moi : « M'ouais… Cela fait très mal sur le coup mais je suis plutôt content, j'aurais pu perdre mon œil et à la place je sens qu'il est devenue unique. Sans vouloir donner un grain d'affection, j'hésiterais pas à les remerciers... »
L'homme : « Tu es… Étrange… Comment peux-tu remercier une telle chose ! »
Moi : « Et bien… J'ai l'impression que cet œil me donne une vision bien plus net. Tout à l'heure quand ils m'ont sortie de la cellule, j'ai pu lire un panneau se trouvant à plus de cent-cinquante mètres sans aucune difficultés. Mais ceci se fait de manière aléatoire… Mais je trouverais un moyen d’entraîner cet œil pour l'exploiter ! »
L'homme étais très étonnés, un gamin d'une dizaine d'année parler d'une tel manières n'est pas très commun. Il finit par répondre : « Et bien… Si c'est ce que tu penses. Mais au faîtes, ou est ta famille ? »
J'arrêtais de mâcher et je fît un regard triste, j'ai finit par répondre : « Ma famille… Mes parents sont morts sous mes yeux par ces soldats, tandis que ma sœur à réussi à s'enfuir. »
L'homme : « Je… Je suis désolé petit… J’espère que tu retrouveras ta sœur »
Je souriais tristement et lui répondais : « Ma sœur, je la retrouverais c'est certain ! Je ne vivrais que pour revoir la joie sur son visage ! »
Je laissais un moment de silence et lui dit : « Dite monsieur… Comment vous vous appelez ? »
L'homme : «Gaido, je m’appelle Gaido, et toi ? »
Moi : « Hunter ^^ »
Gaido : « Enchanté Hunter ^^ , d'où viens-tu ? »
Moi : « De Reku ! Et toi ? »
Gaido : « Moi je viens de Yan-fo ^^ »
Des gardes hurlais dans la salle pour dire : « ALLER LES ANIMAUX ! DANS CINQ MINUTES VOUS RETOURNEREZ FAIRE JOUJOUS ! »
On nous prenais pour des bêtes… Mais ceci n'avais pas d'importance.
Moi : « Gaido… Penses-tu qu'on peut fuir ? »
Gaido : « Et bien… Oui mais cela est très difficile et si tu te fais avoir tu auras de gros problèmes. »
Moi : « Çà m'est égal ! Il faut que je puisse fuir cette endroit pour retrouvé ma sœur ! »
Gaido : « Je comprend…. Écoute, dans trois minutes ils vont nous faire prendre l'air dehors, je te ferais passer par dessus un mur et tu n'auras plus qu'à courir le plus vite possible ! »
Moi : « Merci beaucoup ! »
Gaido : « Attends, je n’aie pas dit que cela marcherais… Mais bon nous n'avons rien à perdre n'est-ce pas ? »
Moi : « Je ferais tout pour retrouvé ma sœur ! »
Gaido : « Par contre, faudra que tu fasses attentions, les mur sont couverts de pointes tranchantes »
Moi : « Ce n'est pas grave, du moment que je passe derrière ! »
Il était l’heure d'aller dehors, juste avant de partir je m'empressais de prendre plusieurs tranches de pain que je cachais discrètement. Nous devions pratiquer des sports physiques par forcément adapter à tous mais c'était simplement histoire de nous faire bouger un peu.
« BON VOUS AVEZ DIX MINUTES DE REPOS APRES VOUS RETOURNEZ DANS VOS CAGES ! » disais un garde.
On attendais que les gardes avaient le dos tourner, et, quand ce fût le cas, on se dépêchais d'agir. Graido me faisais la courte échelle quand d'un coup un garde nous vîmes… Ce fût un moment de panique, « HEY VOUS ! VOUS FOUTEZ QUOI LA ?? » hurlais ce garde et provoquant l’attention de ses collègues qui se tournèrent vers nous.
Grado : « Hunter ! On ne peut pas reculer ! C'est maintenant ou jamais petit ! »
Je hochais la tête, Graido me souleva avec force et je profitais de l'élan qu'il me donnais pour sauter. Je passais au dessus de mur sans soucis, puis j'entendis :
Garde : « QU'AVEZ-VOUS FAIT LA !? »
Graido : « Mais rien messieurs je n'aie rien fais ! »
J'observais la scène depuis un petit trous, Graido s'était fait jeter par terre et tabasser à coup de pieds et de masses…
Graido est mort pour moi et je ne l’oublierais jamais. Je courrais le plus vite possible pour fuir cette endroit. En courant je me suis perdus dans une toundra, cette forêt enneigé semblais paisible, je m'y sentais bien. Cela fait désormais un mois que la tragédie à eu lieux, et casiment une semaine que je me suis enfuis, la nourriture manque, je cherches désespérément à chasser avec des lances en bois mais en vain. Je me trouvais seule dans la nature. Le froid mordant la chair au clair de lune. Je ne savais comment survivre, mais je n'avais qu'une idée en tête, retrouvé Isiris, car je le sentais, je le savais… Elle est encore en vie. Après trois jours de marche acharnés et de recherches de nourritures, je m’effondrai de fatigue, je m'endormis malgré le paysage glacial de cette toundra. Et puis, un loup, sortant de la neige, accourus vers moi, il me renifla et me sentait mal au point. À mon réveil, j'étais entouré d'une meute de loups, tous se blottissant sur moi pour me réchauffer. Le loup qui m'avait trouvé me regarda densément… J'avais l'air de l'intriguer mais il savait que je n'étais pas un danger. Les loups me rapportaient des animaux qu'ils avaient tués, je prenais seulement une partie ainsi que la fourrure, et leur laissa le reste pour ne pas abuser de leur service si remarquable… J'ai passé tout l'hiver en compagnie des loups, ces intrépides de la nature m'ont appris à faire la paix avec moi-même et développer l'instinct qu'ils possèdent naturellement. Ainsi grâce à eux, je peux ressentir les présences, certains dangers et même l'état de santé… J'ai aussi pris goût à la méditation qui me permit de contenir ma haine envers ces barbares. Quelques jours avant mon départ, une jeune louve accoucha, je la caressais pour signe de félicitation. Je ne faisais qu'un avec les loups. La nature m'avait acceptée et aidé, et ceci je ne l'oublierais jamais. Car sans ces loups je ne pourrais vous raconter mon histoire. Mon départ fut douloureux… J'avais du mal à me séparer de cette meute. Ce ne sont que des animaux mais, c'est ici que j'ai compris que n'importe quels animaux pouvaient avoir une conscience mais surtout des sentiments, ces loups étaient bien plus bienveillants que qui que se sois. Le chef de la meute (celui qui m'avait trouvé inconscient) s'assit devant moi, j'ai compris dans son regard qu'il voulait venir avec moi. C'est ainsi que mon aventure avec Wolfer prit commencement. Avant de partir, Wolfer m'avais montré un vieux tombeau, enfouis sous la glace, il s'y trouvait une statue d'un dragon majestueux… Cette statue tenait une épée, de vieux livres était présent dans ce tombeau, je compris que le dragon représenté dans la statue était Éon (prononciation : éonne) la dragonne gardienne des éléments, cette religion draconnique était fascinante, elle y disait que les dragons Éon et Marrato, étant nés quelque part dans le néant, ont mis en œuvre toute l'existence, ce sont eux qui auraient tout créé jusqu'aux moindres détails. Purifia Éon Glaçéo ( prononciation : Poulifia/Pulifia étonne glasséo) et l'artefact représentant Éon, il en existe un pour Marrato, créateur de l'existence, cette épée se nomme Destro Néo Marrato. Je pris la splendide épée, et partis avec Wolfer. Je ne savais pas qu'une tel religion existait, mais je le sais au fond de moi, une tel religion n'est qu'invention. La route pour trouvé une ville était longue, mais je retrouverais Isiris quoi qu'il arrive .
Les pluies effacent les joies, les larmes pures ne font qu'un avec les malheurs, le temps supprime les souvenirs… Aujourd'hui je me trouve en Hélion, et nous ne vivons pas en Hélion, non, en Hélion, nous survivons.
(Normalement le texte est plus cohérent et plus réaliste mais si il y a encore des soucis dite le moi)