Si vous lisez ces mots, c'est que je suis morte. Ou même pire. Si vous avez le malheurs de me lire, fuyez. Fuyez pour vos vies. Quittez Hélion. Très loin. Loin de la Pierre. Car si vous lisez ceci, j'aurai échoué.
Tuez Dribliblu. Tuez Jaesgiear. Tuez Wobmiar. Tuez Vex. Tuez la princesse Islyndea. Tuez mes parents. Tuez-moi. C'est votre seule chance de salut.
Je vous imagine bien, rigoler, vous disant qu'elle délire. Je ne suis pas folle. Vous n'avez aucune chance. Ce n'est pas une armée de nethériens menaçants de détruire le monde. Ce ne sont pas des démons manipulant toute les grandes puissances. Vous ne mourrez pas. Vous souffrirez. Puis vous cesserez d'exister. Personne n'en réchappera. Personne.
Si vous lisez ces mots, il est probablement trop tard. J'ai accepté d'aider Jaesgiear. Nous allons devoir compter sur l'aide de Dribliblu. Et Vex devra m'aider. Je suis votre seule chance de salut. J'ai fait le choix de défier mes parents. Et je dois les vaincre. Sinon ce monde aura perdu.
Non, ce ne sont pas des créatures démoniaques. Ils sont bien pires. Ce sont des humains. Ce ne sont pas des dieux déchus, ni des withers. Ce sont des mortels avides de pouvoir et de contrôle absolu. Et ils l'ont déjà. Plus de pouvoirs que ce que vous pouvez imaginer. Et ils ne sont que deux parmi des dizaines d'autres, formant un groupe ultra secrets aux frontières de chaque continent. Ils ont déjà un fragment. Mes parents viennent chercher le suivant. Rien ne les arrêtera.
Vous ne pouvez pas les vaincre. Ils ont tué Islyndea. Ils ont tué le roi des nethériens. Ils ont tué l'archimage Inifni. Ils pourraient détruire l'enderdragon s'ils le voulaient. Ils sont à deux doigts de contrôler les dieux. Ne les sous-estimez pas. Ils vous détruiront.
Fuyez. Fuyez tant que vous le pouvez. Quittez le continent. Quittez cette planète, qui bientôt sera toute entière à leur merci. Ou priez. Pas les dieux, ils ne pourront rien faire.
Priez que je réussisse.
Je déposerai ce journal dans la bibliothèque de la capitale humaine avant de débuter l'exécution de mon plan. Si je réussis, vous ne saurez jamais ce que vous avez évité. Et ça sera mieux ainsi.
Que l'océan me protège.
Tuez Dribliblu. Tuez Jaesgiear. Tuez Wobmiar. Tuez Vex. Tuez la princesse Islyndea. Tuez mes parents. Tuez-moi. C'est votre seule chance de salut.
Je vous imagine bien, rigoler, vous disant qu'elle délire. Je ne suis pas folle. Vous n'avez aucune chance. Ce n'est pas une armée de nethériens menaçants de détruire le monde. Ce ne sont pas des démons manipulant toute les grandes puissances. Vous ne mourrez pas. Vous souffrirez. Puis vous cesserez d'exister. Personne n'en réchappera. Personne.
Si vous lisez ces mots, il est probablement trop tard. J'ai accepté d'aider Jaesgiear. Nous allons devoir compter sur l'aide de Dribliblu. Et Vex devra m'aider. Je suis votre seule chance de salut. J'ai fait le choix de défier mes parents. Et je dois les vaincre. Sinon ce monde aura perdu.
Non, ce ne sont pas des créatures démoniaques. Ils sont bien pires. Ce sont des humains. Ce ne sont pas des dieux déchus, ni des withers. Ce sont des mortels avides de pouvoir et de contrôle absolu. Et ils l'ont déjà. Plus de pouvoirs que ce que vous pouvez imaginer. Et ils ne sont que deux parmi des dizaines d'autres, formant un groupe ultra secrets aux frontières de chaque continent. Ils ont déjà un fragment. Mes parents viennent chercher le suivant. Rien ne les arrêtera.
Vous ne pouvez pas les vaincre. Ils ont tué Islyndea. Ils ont tué le roi des nethériens. Ils ont tué l'archimage Inifni. Ils pourraient détruire l'enderdragon s'ils le voulaient. Ils sont à deux doigts de contrôler les dieux. Ne les sous-estimez pas. Ils vous détruiront.
Fuyez. Fuyez tant que vous le pouvez. Quittez le continent. Quittez cette planète, qui bientôt sera toute entière à leur merci. Ou priez. Pas les dieux, ils ne pourront rien faire.
Priez que je réussisse.
Je déposerai ce journal dans la bibliothèque de la capitale humaine avant de débuter l'exécution de mon plan. Si je réussis, vous ne saurez jamais ce que vous avez évité. Et ça sera mieux ainsi.
Que l'océan me protège.