( avant de commencer je précise que j'ai finalement préférer écrire ce rp que de le vivre pour me sentir plus a l'aise, si il y a des soucis dans le texte informez en moi ^^ P.S : Bon ok c'était aussi car je ne voulais pas faire le skyzophrene ._. )
Me trouvant sur mon lit, comme d'habitude étant donner que je ne peux sortir prendre un peu d'air, c'était une journée comme les autres, le seul prisonnier méditant malgré sa désespérance. J'ai perdus espoir… Jusqu'à ce que je fasse ce rêve étrange.
Dans ce rêve, j'étais au bord d'une falaise , observant un crépuscule plus splendide comparé à ceux que j'ai dors et déjà admirer. J'étais assis, mon bras droit sur le genoux de droite. Le vent caressais ma peau d'une brise légère emportant tendrement mes cheveux.
Je fermais mes yeux un court instant, puis j'entendis des bruits de pas, quelqu'un s’approchait. Je rouvris les yeux, le regard toujours fixer devant le soleil couchant. Cette personne ralentit, je sentais qu'elle me regardais. C'est alors qu'une petite voix féminine
sortie des paroles avec un ton enfantin : « Tiens ! Tes encore là toi ? »
Évidemment, cette personne était Maelias, aucune enfant à part elle ne sais où je me trouve chaque soir.
Je répondis calmement : « *léger soupire* Et toi que fais-tu la ? »
Elle s'approcha lentement, restant debout puis dit : « Il faut que je te montre quelque chose et je pense que c'est le bon moment, après tout ce soleil est parfait pour des retrouvailles ! »
J'étais curieux, alors je lui dis : « Qu'entends-tu par « retrouvaille » ? »
« Hin hin, pas de précipitation »
« C'est toi qui parle de précipitation alors que tu ne tiens pas en place ? »
J'entendis une autre personne approcher, ses pas étaient bien plus délicat et discret que ceux de Maelias. Cette dernière m'ordonna gentiment : « Aller, retourne toi ! »
Au début je pensais simplement à des personnes comme Dribliblu, mais là c'était totalement différent. Je tournais la tête pour voir derrière mon épaule gauche, mon corps restant vers le soleil. C'est là que…
Maelias me sourit puis dit : « Tu ne la reconnais pas ? »
C'était elle, elle avait si grandis, elle avait désormais entre quatorze et quinze ans. Deux longues couettes rose mettais en valeur la douceur de son visage. Son regard était fort, il me prouvais qu'elle n'étais plus l'enfant pleurnicharde, mais une battante.
J'ai vue le doute dans ses yeux, elle ne savait pas si j'étais réellement moi, de mon coté, j'étais totalement surpris et chambouler.
«Tu la reconnais n'est-ce pas ? ^^ » me fit Maelias « Pour te faire un résumé je l'ais croisé il y a quelque jours, dans la rue, achetant des fruits. J'ai fais connaissance et puis un jour elle m'a parler d'un certain frère, alors je lui ais demander si ce frère ne s’appellerait
pas par hasard Hunter et bingo c'était bien lui ! Du coup elle ma questionner comme une folle et puis nous voila ! »
Je me leva, observant une nouvelle fois le soleil, puis je me retourne. Elle vit mon œil droit, j'ai sentis qu'elle s’inquiétait. Nous nous regardions longuement dans les yeux puis on s’avançait, l'un vers l'autre, ne détournant en aucun cas le regard.
Quand il ne restait qu'une dizaines de mètres à parcourir, elle courrait les larmes au yeux pour se jeter sur moi. Elle pleurais de joie tout en me tenant fermement. Elle pleurais contre mon ventre (du à la différence de taille) , je mit ma main droite sur sa tête.
« J'ai… *snif* J'ai crus ne jamais te revoir *sanglote* »
«C'est finis... » .
Elle leva la tête puis me demanda : « Qu'est-ce qu'il tes arriver ? Comment as-tu survécus ? Pourquoi ton œil est si étrange ? «
« Calme toi, tout ceci est une longue histoire »
Maelias nous regardais plus loin, contente que ma quête désespérer prennes fin, mais légèrement inquiète sur ce qui se passeras par la suite.
Nous étions entrelacer, elle refusais de me lâcher, pas même de me tenir avec moins de force. Nous restions la, éclairer par le soleil sur le point de disparaître…
A mon réveil, j'ai de suite repris espoir, je réfléchissais intensément pour trouver une solution. Je savais qu'il fallait que je m'évade. Mais comment ? Je me suis questionner quelque jours à ce sujet jusqu'à ce que je me fasse réveiller par un brouhaha
insupportable. Des dizaines et des dizaines de gardes accouraient, pourquoi ? Aucune idée. Ils hurlaient des ordres défensifs, il s'armaient en vitesse. Ils répétaient sans arrêt «C'était inévitable... » ou encore «C'est pour lui... » .
C'était le chaos, impossible de savoir ce qu'il se passe, et d'un coup, une explosions venant de dehors, puis une deuxième, une troisièmes… Chaque explosion s'approchaient de plus en plus de la prison. Des hurlements de douleurs se faisaient entendre.
Les chef criaient « ILS NE FAUT PAS LES FAIRES ENTRER ! APPELEZ DU RENFORTS SOLDATS ! ». Aucun doute, un conflits se passait dehors. Mais ce que je ne comprenais pas, c'est que pour un conflits, malgré les explosions et les gardes, cela me
semblais bien trop calme. J'entendis avec difficultés les gardes se trouvant dehors.
« Les deux tueurs sont partis, à eux deux ils ont tuer une trentaine de gardes avec des projectiles explosifs., sans parler de leurs expérience au combat»
« Ils nous faut du renforts… Chopez ces sal**d ! »
De nombreux gardes se mobilisaient, dehors on pouvais entendre des escouades bien organisée et prête à combattre. Ces escouades restaient devant la prison pour la protéger. Les minutes étaient longues, une heure était déjà passer.
« Nous n'avons toujours pas de nouvelle général, que faisons-nous ? »
«… Fait ch**r ! »
Un court moment de silence dominais… Ce silence fut vite interrompus. Une pluie de fumigène fit surface, aveuglant tout les soldats, les désorganisant. Cette situation était parfaite, une quinzaine d'Assassins sont arrivé tel des ombres, tuant sans difficultés les gardes
engloutis dans la fumée. Ils les tuaient un par un. Quand la fumée commençais à se dissiper, un Assassin sortie, les gardes qui étaient dans la prison, l'on vue sortir tranquillement de cette fumée. Ils se sont mit en position de défense, mais on très vite été déstabilisé
en voyant quatre autre Assassins sortir, puis un cinquième, un sixième. Et enfin, la fumée étant dissipé, une trentaine d'Assassins se trouvaient la dont une dizaine encore cacher pour couvrirent les arrières avec des arcs.
Les vingts Assassins se trouvant donc devant la prison se divise en deux, un groupe de cinq pour encercler la prison sachant qu'ils ont en plus dix Assassins planquer pour surveiller. Et l'autre groupe prends d'assaut l'intérieur de la prison.
Les gardes étaient terrifiés et démoralisé à la vue des nombreux cadavres dégoulinant de sang. Les Assassins entrèrent sans problèmes et tuèrent les premiers gardes sans aucune difficulté. Ils descendirent au sous-sol , d'autres gardes fonçaient sur eux mais l’agilité et la rapidité des Assassins
dominent les armures et armes lourdes, en effet un Assassin est sensé être capable de tuer à lui seule dix personne au minimum, au front, sans être armé. Les gardes sont impuissants, les Assassins profitent de leurs désorganisation pour les massacrés, les arts martiaux sont aussi un avantage,
en effets ils peuvent se servir des armes de leurs adversaires sans les désarmés, ceci combiné à une bonne vitesse et d'excellent réflexes forme des hommes dévastateurs.
Tout les Assassins s'occupent des gardes sauf deux qui posent des explosifs pour faire péter des barreaux auquel se trouve un peu plus loin ma cellule. Les explosifs ayant explosé, les deux Assassins foncent sur les quelques gardes surveillant ma cellule. Après les avoir tuer , ils arrachent ma porte
en y coinçant trois épées pour l'éjecter.
J'étais assis sur mon lit, je ne bougeais pas, tête baisser, les yeux fermés. Je fit : «Comment avez-vous sus que je suis ici ? » l'un des deux me répondit « Des espions on suivit Dribliblu, ça nous a permis de te retrouver »
Je répondis : «Je voie… » je me lève et leurs dis : « Mes équipements. » ils me jetèrent mes deux gantelets contenant mes deux hidden blade, une ceinture contenant des couteaux de lancer, un petit pistolet et une dague.
« Partons… Vite ! » les deux Assassins me font un signe affirmatif de la tête. Nous courrions vers la sortie, éliminant les gardes survivants, en sortant de prison, je me retournas et fit « Détruisez la, je ne veux plus de ce bâtiment »
« Euh… Nous n'avons pas assez d'explosifs pour cela.. »
Hunter : « Dans ces cas la détruisez la comme vous le pouvez »
« Compris »
Ils placèrent en vitesse leurs derniers explosifs pendant que moi et les autres fuyaient. Les explosions n'ont malheureusement pas détruit la prison, mais l'ont juste rendus inaccessible temporairement
Arrivé à la confrérie, je fit un discours de remerciement. Mais ensuite je dis : « Camarades, j'ai cependant une requête, la Révolution en Hélion n'auras pas lieux… Pas pour le moment… C'est tout ce que j'avais à rajouter. Je vais préparer vos récompenses. Reposez-vous »
Hirogens, qui était présent pour m'évader ( qui surveillais dans les arbres si personnes ne revenais en renforts ) s'approche de moi.
Hirogens : « Hunter ? »
Hunter : « Ah, Hiro , ça va ? »
Hirogens : « Oui, écoute, j'ai remarquer que tu as pris confiance en toi et que tu te montres digne d'un Maître-Assassin… Cela veut-dire que tu t'occuperas de tout ? »
Hunter : « Et non, c'était peut-être l'image que je donnais, mais malheureusement, je m'auto-rédrograde, je suis bien meilleurs à exécuter qu'à ordonner. Ma place n'est pas en tant que dirigeant, mais en tant qu'éxécuteur. »
Hirogens : « Tu préfères donc être un pion ? «
Hunter : « J'en ais parler avec plusieurs Assassins . On est passer à un accord. »
Hirogens : « Lequel ? »
Hunter : « Je ne fais a partir de maintenant partie d'aucune confrérie. Désormais je suis indépendant à cent pour-cent. Désormais j'aide ceux que je souhaites aider. Je suis désormais mon libre arbitre. Il est temps pour le changement. »
Me trouvant sur mon lit, comme d'habitude étant donner que je ne peux sortir prendre un peu d'air, c'était une journée comme les autres, le seul prisonnier méditant malgré sa désespérance. J'ai perdus espoir… Jusqu'à ce que je fasse ce rêve étrange.
Dans ce rêve, j'étais au bord d'une falaise , observant un crépuscule plus splendide comparé à ceux que j'ai dors et déjà admirer. J'étais assis, mon bras droit sur le genoux de droite. Le vent caressais ma peau d'une brise légère emportant tendrement mes cheveux.
Je fermais mes yeux un court instant, puis j'entendis des bruits de pas, quelqu'un s’approchait. Je rouvris les yeux, le regard toujours fixer devant le soleil couchant. Cette personne ralentit, je sentais qu'elle me regardais. C'est alors qu'une petite voix féminine
sortie des paroles avec un ton enfantin : « Tiens ! Tes encore là toi ? »
Évidemment, cette personne était Maelias, aucune enfant à part elle ne sais où je me trouve chaque soir.
Je répondis calmement : « *léger soupire* Et toi que fais-tu la ? »
Elle s'approcha lentement, restant debout puis dit : « Il faut que je te montre quelque chose et je pense que c'est le bon moment, après tout ce soleil est parfait pour des retrouvailles ! »
J'étais curieux, alors je lui dis : « Qu'entends-tu par « retrouvaille » ? »
« Hin hin, pas de précipitation »
« C'est toi qui parle de précipitation alors que tu ne tiens pas en place ? »
J'entendis une autre personne approcher, ses pas étaient bien plus délicat et discret que ceux de Maelias. Cette dernière m'ordonna gentiment : « Aller, retourne toi ! »
Au début je pensais simplement à des personnes comme Dribliblu, mais là c'était totalement différent. Je tournais la tête pour voir derrière mon épaule gauche, mon corps restant vers le soleil. C'est là que…
Maelias me sourit puis dit : « Tu ne la reconnais pas ? »
C'était elle, elle avait si grandis, elle avait désormais entre quatorze et quinze ans. Deux longues couettes rose mettais en valeur la douceur de son visage. Son regard était fort, il me prouvais qu'elle n'étais plus l'enfant pleurnicharde, mais une battante.
J'ai vue le doute dans ses yeux, elle ne savait pas si j'étais réellement moi, de mon coté, j'étais totalement surpris et chambouler.
«Tu la reconnais n'est-ce pas ? ^^ » me fit Maelias « Pour te faire un résumé je l'ais croisé il y a quelque jours, dans la rue, achetant des fruits. J'ai fais connaissance et puis un jour elle m'a parler d'un certain frère, alors je lui ais demander si ce frère ne s’appellerait
pas par hasard Hunter et bingo c'était bien lui ! Du coup elle ma questionner comme une folle et puis nous voila ! »
Je me leva, observant une nouvelle fois le soleil, puis je me retourne. Elle vit mon œil droit, j'ai sentis qu'elle s’inquiétait. Nous nous regardions longuement dans les yeux puis on s’avançait, l'un vers l'autre, ne détournant en aucun cas le regard.
Quand il ne restait qu'une dizaines de mètres à parcourir, elle courrait les larmes au yeux pour se jeter sur moi. Elle pleurais de joie tout en me tenant fermement. Elle pleurais contre mon ventre (du à la différence de taille) , je mit ma main droite sur sa tête.
« J'ai… *snif* J'ai crus ne jamais te revoir *sanglote* »
«C'est finis... » .
Elle leva la tête puis me demanda : « Qu'est-ce qu'il tes arriver ? Comment as-tu survécus ? Pourquoi ton œil est si étrange ? «
« Calme toi, tout ceci est une longue histoire »
Maelias nous regardais plus loin, contente que ma quête désespérer prennes fin, mais légèrement inquiète sur ce qui se passeras par la suite.
Nous étions entrelacer, elle refusais de me lâcher, pas même de me tenir avec moins de force. Nous restions la, éclairer par le soleil sur le point de disparaître…
A mon réveil, j'ai de suite repris espoir, je réfléchissais intensément pour trouver une solution. Je savais qu'il fallait que je m'évade. Mais comment ? Je me suis questionner quelque jours à ce sujet jusqu'à ce que je me fasse réveiller par un brouhaha
insupportable. Des dizaines et des dizaines de gardes accouraient, pourquoi ? Aucune idée. Ils hurlaient des ordres défensifs, il s'armaient en vitesse. Ils répétaient sans arrêt «C'était inévitable... » ou encore «C'est pour lui... » .
C'était le chaos, impossible de savoir ce qu'il se passe, et d'un coup, une explosions venant de dehors, puis une deuxième, une troisièmes… Chaque explosion s'approchaient de plus en plus de la prison. Des hurlements de douleurs se faisaient entendre.
Les chef criaient « ILS NE FAUT PAS LES FAIRES ENTRER ! APPELEZ DU RENFORTS SOLDATS ! ». Aucun doute, un conflits se passait dehors. Mais ce que je ne comprenais pas, c'est que pour un conflits, malgré les explosions et les gardes, cela me
semblais bien trop calme. J'entendis avec difficultés les gardes se trouvant dehors.
« Les deux tueurs sont partis, à eux deux ils ont tuer une trentaine de gardes avec des projectiles explosifs., sans parler de leurs expérience au combat»
« Ils nous faut du renforts… Chopez ces sal**d ! »
De nombreux gardes se mobilisaient, dehors on pouvais entendre des escouades bien organisée et prête à combattre. Ces escouades restaient devant la prison pour la protéger. Les minutes étaient longues, une heure était déjà passer.
« Nous n'avons toujours pas de nouvelle général, que faisons-nous ? »
«… Fait ch**r ! »
Un court moment de silence dominais… Ce silence fut vite interrompus. Une pluie de fumigène fit surface, aveuglant tout les soldats, les désorganisant. Cette situation était parfaite, une quinzaine d'Assassins sont arrivé tel des ombres, tuant sans difficultés les gardes
engloutis dans la fumée. Ils les tuaient un par un. Quand la fumée commençais à se dissiper, un Assassin sortie, les gardes qui étaient dans la prison, l'on vue sortir tranquillement de cette fumée. Ils se sont mit en position de défense, mais on très vite été déstabilisé
en voyant quatre autre Assassins sortir, puis un cinquième, un sixième. Et enfin, la fumée étant dissipé, une trentaine d'Assassins se trouvaient la dont une dizaine encore cacher pour couvrirent les arrières avec des arcs.
Les vingts Assassins se trouvant donc devant la prison se divise en deux, un groupe de cinq pour encercler la prison sachant qu'ils ont en plus dix Assassins planquer pour surveiller. Et l'autre groupe prends d'assaut l'intérieur de la prison.
Les gardes étaient terrifiés et démoralisé à la vue des nombreux cadavres dégoulinant de sang. Les Assassins entrèrent sans problèmes et tuèrent les premiers gardes sans aucune difficulté. Ils descendirent au sous-sol , d'autres gardes fonçaient sur eux mais l’agilité et la rapidité des Assassins
dominent les armures et armes lourdes, en effet un Assassin est sensé être capable de tuer à lui seule dix personne au minimum, au front, sans être armé. Les gardes sont impuissants, les Assassins profitent de leurs désorganisation pour les massacrés, les arts martiaux sont aussi un avantage,
en effets ils peuvent se servir des armes de leurs adversaires sans les désarmés, ceci combiné à une bonne vitesse et d'excellent réflexes forme des hommes dévastateurs.
Tout les Assassins s'occupent des gardes sauf deux qui posent des explosifs pour faire péter des barreaux auquel se trouve un peu plus loin ma cellule. Les explosifs ayant explosé, les deux Assassins foncent sur les quelques gardes surveillant ma cellule. Après les avoir tuer , ils arrachent ma porte
en y coinçant trois épées pour l'éjecter.
J'étais assis sur mon lit, je ne bougeais pas, tête baisser, les yeux fermés. Je fit : «Comment avez-vous sus que je suis ici ? » l'un des deux me répondit « Des espions on suivit Dribliblu, ça nous a permis de te retrouver »
Je répondis : «Je voie… » je me lève et leurs dis : « Mes équipements. » ils me jetèrent mes deux gantelets contenant mes deux hidden blade, une ceinture contenant des couteaux de lancer, un petit pistolet et une dague.
« Partons… Vite ! » les deux Assassins me font un signe affirmatif de la tête. Nous courrions vers la sortie, éliminant les gardes survivants, en sortant de prison, je me retournas et fit « Détruisez la, je ne veux plus de ce bâtiment »
« Euh… Nous n'avons pas assez d'explosifs pour cela.. »
Hunter : « Dans ces cas la détruisez la comme vous le pouvez »
« Compris »
Ils placèrent en vitesse leurs derniers explosifs pendant que moi et les autres fuyaient. Les explosions n'ont malheureusement pas détruit la prison, mais l'ont juste rendus inaccessible temporairement
Arrivé à la confrérie, je fit un discours de remerciement. Mais ensuite je dis : « Camarades, j'ai cependant une requête, la Révolution en Hélion n'auras pas lieux… Pas pour le moment… C'est tout ce que j'avais à rajouter. Je vais préparer vos récompenses. Reposez-vous »
Hirogens, qui était présent pour m'évader ( qui surveillais dans les arbres si personnes ne revenais en renforts ) s'approche de moi.
Hirogens : « Hunter ? »
Hunter : « Ah, Hiro , ça va ? »
Hirogens : « Oui, écoute, j'ai remarquer que tu as pris confiance en toi et que tu te montres digne d'un Maître-Assassin… Cela veut-dire que tu t'occuperas de tout ? »
Hunter : « Et non, c'était peut-être l'image que je donnais, mais malheureusement, je m'auto-rédrograde, je suis bien meilleurs à exécuter qu'à ordonner. Ma place n'est pas en tant que dirigeant, mais en tant qu'éxécuteur. »
Hirogens : « Tu préfères donc être un pion ? «
Hunter : « J'en ais parler avec plusieurs Assassins . On est passer à un accord. »
Hirogens : « Lequel ? »
Hunter : « Je ne fais a partir de maintenant partie d'aucune confrérie. Désormais je suis indépendant à cent pour-cent. Désormais j'aide ceux que je souhaites aider. Je suis désormais mon libre arbitre. Il est temps pour le changement. »