L'histoire du grand Gloubiboulga le roi du fromage
Il était une fois, dans une cuisine tout à fait normal, dans un château tout à fait normal, dans un pays on ne peut plus normal sur un continent autant ennuyeux que normal, un fromagé... très normal aussi.
Il s'appellait Gloubiboulga.
Gloubiboulga aimait le fromage. En en faisait des gâteaux, des desserts, des assortiments, des assaisonnement mais aussi des chapeaux, des sculptures....
Tant que c'était en fromage il aimait ça.
Mais vint un jour à la reine, lassée par l'odeur que sortait des cuisines du château
fit demander qu'on lui apporte le responsable sur le champ ilicopresto et que ça saute.
Le pauvre Gloubiboulga sorti précipitamment de sa cuisine avec un chèvre encore dans le four pris à peine le temps de se débarbouiller avant d'être mis à genou devant le trone royale de sa majesté
- Cuisinier ! Commença la reine, Le château empeste les pieds, même les serviteur s'évanouissent lorsqu’ils approchent de vos quartiers vous avez beau être le meilleur fromagé du monde, vous ne pouvez rester ici !
Sans que Gloubiboulga pu dire un mot, les garde l'attraperai par
attrapèrent par les bras et il fut mis à la porte sans plus de sommation.
En marchant sur la route qui menais vers la sortie de la capitale, de grosses larmes traçant une rivière derrière lui
il lui revint à l’esprit le chèvre dans le four !
Mais c'était sans savoir qu'à ce moment même, le neveux du rois, lui même roi du royaume voisin, était venu en visite ce soir là.
Gloubiboulga se demandait comment récupérer son chèvre avant qu'il ne soit trop tar
Tandis que l'escorte royale tonitruante annonçait son arrivée
Gloubiboulga entrainé par l'afflue de serviteur et toujours en costume fut pris pour l'un deux et sans qu'il ne s'en rende compte, se retrouvais ni une ni deux, entre les murs du château.
Se ruant vers ses cuisines en espérant qu'il ne sot pas trop tard, trébuchant sur les tapis
Heurtant les meubles et faisant tombé les armures de décoration contre les murs
Il arrivait enfin dans le couleur des cuisine lorsqu'il entendit un bruit
un autre cuisinier surement, son remplaçant peut etre, une serveuse sans doute
Mais non, Ce bruit clique tissait, Carillonnait
On pouvait y entendre la richesse du pas léger
La distinction, l'assurance.
Ce qui poussa Gloubiboulga à se cacher derrière un rideau.
Voilà ce qu'il surprit de la conversation des inconnues passant dans le couloir :
- Tout est prêt mon seigneur, vôtre oncle ne va pas en revenir !
- Pour sur, c'est bien là le principe pauvre imbécile !
- ....psh php sp sh psh psh Les bruit de pas s'estompaient
Pris d'effrois Gloubiboulga sortait lentement de sa cachette
Les mains tremblantes
Il était pâle comme le cul d'une vierge.
Machinalement il marchait vers sa cuisine.
-------------------------------
Histoire contée à 3h11 précise du matin, voilà une petite interlude:
[03:11:55] Julien (Juiiop): Putain
[03:12:00] Dribliblu: Tu dors pas toi ?
[03:12:03] Julien (Juiiop): J'me suis endormi
[03:12:07] Dribliblu: xD
[03:12:14] Dribliblu: Je continue rien à foutre
------------------------------
Une fumée qui sortait du four noir montait au plafond
Il se baissait pour respirer ce qui restait d'air et attrapa son chèvre à bout de gants de cuisine.
Il était un peu noir sur le dessus
Mais tellement fondant et bouillonnant de saveurs
Cela lui rendis quelques couleurs ainsi qu'une poignée de courage.
Il cachait le chèvre sous une cloche qu'il emportait avec lui d'une main comme le professionnel qu'il était, et arpentait les couloir vers la salle du festin
Il arrivait juste à temps
Le Roi allait porter un toaste de cette merveilleuse bouteille offerte par son neuveu
Gloubiboulga se rua sur lui
mais il était trop loin, les garde le virent et lui bloquèrent le passage.
C'est alors que Gloubi ouvrit la cloque et que l'odeur du chèvre se faufila dans les narines des officiers
Ils tombèrent raide mort.
Toujours trop loin.
Il n'arriverais pas à temps !
C'était sa dernière chance.
Il attrapa le chèvre à plaine mains
Et le lança de toutes ses forces sur le roi
Le chèvre volait au dessus des nobles têtes
les regards petit à petit se tournèrent
Le roi lui même oscilla d'un œil en voyant le projectile se ruer vers lui dans sa cruelle course
Les nobles convives se levèrent tous d'un coup
Le roi avait esquivé facilement le fromage qui ne le visait pas
Mais qui dans sa course, fit tombé la coupe de vin
Moins d'une demie seconde plus tard, toutes les lames du royaume étaient sous le cou de Gloubiboulga
Il essaye de s'expliquer et rapportant ce qu'il avait entendu
Mais rien n'y fit.
On lui annonça qu'il serait pendu le lendemain .
Cette nuit là, dans les cachots froids et humides du palais
Gloubiboulga ne dormis pas.
Le Lendemain matin, alors que le soleil chatouillait la campagne rousse et que les oiseaux commençait à colporter la nouvelle
Gloubiboulga fut pendu.
Fin.
La morale ? Ne jamais se fier au titre.
Copyright Dribliblu Edition Collector
Il était une fois, dans une cuisine tout à fait normal, dans un château tout à fait normal, dans un pays on ne peut plus normal sur un continent autant ennuyeux que normal, un fromagé... très normal aussi.
Il s'appellait Gloubiboulga.
Gloubiboulga aimait le fromage. En en faisait des gâteaux, des desserts, des assortiments, des assaisonnement mais aussi des chapeaux, des sculptures....
Tant que c'était en fromage il aimait ça.
Mais vint un jour à la reine, lassée par l'odeur que sortait des cuisines du château
fit demander qu'on lui apporte le responsable sur le champ ilicopresto et que ça saute.
Le pauvre Gloubiboulga sorti précipitamment de sa cuisine avec un chèvre encore dans le four pris à peine le temps de se débarbouiller avant d'être mis à genou devant le trone royale de sa majesté
- Cuisinier ! Commença la reine, Le château empeste les pieds, même les serviteur s'évanouissent lorsqu’ils approchent de vos quartiers vous avez beau être le meilleur fromagé du monde, vous ne pouvez rester ici !
Sans que Gloubiboulga pu dire un mot, les garde l'attraperai par
attrapèrent par les bras et il fut mis à la porte sans plus de sommation.
En marchant sur la route qui menais vers la sortie de la capitale, de grosses larmes traçant une rivière derrière lui
il lui revint à l’esprit le chèvre dans le four !
Mais c'était sans savoir qu'à ce moment même, le neveux du rois, lui même roi du royaume voisin, était venu en visite ce soir là.
Gloubiboulga se demandait comment récupérer son chèvre avant qu'il ne soit trop tar
Tandis que l'escorte royale tonitruante annonçait son arrivée
Gloubiboulga entrainé par l'afflue de serviteur et toujours en costume fut pris pour l'un deux et sans qu'il ne s'en rende compte, se retrouvais ni une ni deux, entre les murs du château.
Se ruant vers ses cuisines en espérant qu'il ne sot pas trop tard, trébuchant sur les tapis
Heurtant les meubles et faisant tombé les armures de décoration contre les murs
Il arrivait enfin dans le couleur des cuisine lorsqu'il entendit un bruit
un autre cuisinier surement, son remplaçant peut etre, une serveuse sans doute
Mais non, Ce bruit clique tissait, Carillonnait
On pouvait y entendre la richesse du pas léger
La distinction, l'assurance.
Ce qui poussa Gloubiboulga à se cacher derrière un rideau.
Voilà ce qu'il surprit de la conversation des inconnues passant dans le couloir :
- Tout est prêt mon seigneur, vôtre oncle ne va pas en revenir !
- Pour sur, c'est bien là le principe pauvre imbécile !
- ....psh php sp sh psh psh Les bruit de pas s'estompaient
Pris d'effrois Gloubiboulga sortait lentement de sa cachette
Les mains tremblantes
Il était pâle comme le cul d'une vierge.
Machinalement il marchait vers sa cuisine.
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Histoire contée à 3h11 précise du matin, voilà une petite interlude:
[03:11:55] Julien (Juiiop): Putain
[03:12:00] Dribliblu: Tu dors pas toi ?
[03:12:03] Julien (Juiiop): J'me suis endormi
[03:12:07] Dribliblu: xD
[03:12:14] Dribliblu: Je continue rien à foutre
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Une fumée qui sortait du four noir montait au plafond
Il se baissait pour respirer ce qui restait d'air et attrapa son chèvre à bout de gants de cuisine.
Il était un peu noir sur le dessus
Mais tellement fondant et bouillonnant de saveurs
Cela lui rendis quelques couleurs ainsi qu'une poignée de courage.
Il cachait le chèvre sous une cloche qu'il emportait avec lui d'une main comme le professionnel qu'il était, et arpentait les couloir vers la salle du festin
Il arrivait juste à temps
Le Roi allait porter un toaste de cette merveilleuse bouteille offerte par son neuveu
Gloubiboulga se rua sur lui
mais il était trop loin, les garde le virent et lui bloquèrent le passage.
C'est alors que Gloubi ouvrit la cloque et que l'odeur du chèvre se faufila dans les narines des officiers
Ils tombèrent raide mort.
Toujours trop loin.
Il n'arriverais pas à temps !
C'était sa dernière chance.
Il attrapa le chèvre à plaine mains
Et le lança de toutes ses forces sur le roi
Le chèvre volait au dessus des nobles têtes
les regards petit à petit se tournèrent
Le roi lui même oscilla d'un œil en voyant le projectile se ruer vers lui dans sa cruelle course
Les nobles convives se levèrent tous d'un coup
Le roi avait esquivé facilement le fromage qui ne le visait pas
Mais qui dans sa course, fit tombé la coupe de vin
Moins d'une demie seconde plus tard, toutes les lames du royaume étaient sous le cou de Gloubiboulga
Il essaye de s'expliquer et rapportant ce qu'il avait entendu
Mais rien n'y fit.
On lui annonça qu'il serait pendu le lendemain .
Cette nuit là, dans les cachots froids et humides du palais
Gloubiboulga ne dormis pas.
Le Lendemain matin, alors que le soleil chatouillait la campagne rousse et que les oiseaux commençait à colporter la nouvelle
Gloubiboulga fut pendu.
Fin.
La morale ? Ne jamais se fier au titre.
Copyright Dribliblu Edition Collector